Critiques/Presse

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Piano à quatre mains

 


Geneviève et Bernard Picavet ont enchanté le public. (Photo DNA)

La première soirée de l'année musicale du Château d'Isenbourg a démarré samedi avec un beau concert à la salle des Princes Evêques et la magnifique prestation du couple Geneviève et Bernard Picavet, pianistes de talent et de réputation mondiale qui ont uni leurs grands talents pour former un des meilleurs duos de piano actuels pour offrir un concert à quatre mains.

Devant un bel auditoire, ils ont offert un concert comprenant des danses populaires de Brahms avec les célèbres danses hongroises, des oeuvres de Dvorak et Grieg pour terminer avec la Barcarolle et la Romance de Rachmaninoff et Espana de Chabrier.

Par la clarté du jeu des deux pianistes et leur parfaite maîtrise Geneviève et Bernard Picavet ont tenu l'auditoire sous le charme. La Standing ovation qui a clos la soirée était une juste récompense pour leur prestation marquée par la perfection.

© Dernières Nouvelles D'alsace, Jeudi 21 Janvier 2010. - Tous droits de reproduction réservés

 


 

Festival "Piano à Riom"

"Piano à Riom" proposait un concert avec l'éblouissant Duo Picavet ...
Un concert "éclectique" de prouesses techniques de la part des deux interprètes avec un évident plaisir d'un univers à l'autre et la joie pour le public de découvrir les variations de Lutoslawsky, époustouflantes de virtuosité. Géraldine Messina, Journal la Montagne le 03/06/2007


Le Figaroscope 14/12/2005  « Un doublé qui s’offre un éclatant programme »

Crescendo 03/2004 (cd Poulenc) : « Le jeu des Picavet est piquant, aigu, tout en éclairs de couleurs. Mais il peut aisément se plier à la sévérité harmonique de la belle Elégie dédiée à la mémoire de la comtesse de Polignac. »Bruno Peeters


L’Education Musicale Janv-Fév 2004 (cd Poulenc)

« Toutes pièces humoristiquement et amoureusement interprétées par le remarquable duo Picavet dont nous avons déjà pu dire les qualités de parfaite cohésion et de musicalité. »Francis Gérimont


Le Monde de la Musique 10/2003 (cd Poulenc)

« …on ne peut qu’admirer la clarté du jeu des deux pianistes et leur parfaite maîtrise….la sonate à quatre mains est un des meilleurs moments de ce cd, dont le sommet est la sonate pour deux pianos… »Jean Roy


La Montagne centre-France 22/06/2003 (cd Poulenc)

« Interprétation typée, qui n’hésite pas à caractériser le trait, à se démarquer des conventions, notamment s’agissant de la grande sonate de 1953… »Roland Duclos


Répertoire 01/1997 (cd Gottschalk/Lefébure-Wély)

Geneviève et Bernard Picavet défendent parfaitement ces raretés, en leur donnant le ton et le son adaptés. Chez Gottschalk, le style est plus sec et nerveux. Chez Lefébure-Wély, la couleur est particulièrement soignée et élégante. »Jacques Bonnaure


Les Nouvelles des Yvelines 03/10/1995 (Semaine Musicale de Rambouillet)

Un agréable concert d’une approche immédiate. La maîtrise artistique du couple, la qualité et le raffinement des œuvres proposées ont séduit les amateurs du genre. » G.G.


L’Education Musicale 01/1995 (cd Pianos Romantiques)

« Le duo Picavet possède l’art de « dénicher » des pages parfois majeures qu’il a bien raison de nous révéler. »J.Marie Thil


Le Figaro 05/07/1993 (Festival en Sorbonne)

« De toutes ces œuvres diverses, Geneviève et Bernard Picavet nous ont offert des interprétations solides… » Pierre Petit


Le Courrier du Berry (Festival de Boucard) 13/07/1990

« Geneviève et Bernard Picavet ont tenu leur auditoire sous le charme. Tout simplement,pas de grands effets : un jeu sobre avec plein de musique venant du cœur. La seconde partie a été marquée par la perfection et l’humour de Poulenc, et la gravité méditative de Schumann. » J.M.C.


La Voix du Sancerrois 12/07/1990 (Festival de Boucard)

« Dès la Sonate en ré majeur de Mozart, la complicité du regard et l’harmonie des sons allaient faire merveille et susciter des applaudissements allant « crescendo » ». Y.P.


Le Bonhomme Picard 27/08/1988 (Festival de Saint Germer des Fly)

« Geneviève et Bernard Picavet, doués d’une égale virtuosité dépassant le solo ont présenté des œuvres de toutes les époques et de tous les genres…toute la technique au plus haut niveau s’est trouvée concentrée dans ce jeu de mains infatigable et surprenant d’entente tacite. »C.Forterre


Musique et Concerts Mars 1986 (récital salle Cortot à Paris)

« Le concert, auquel assistait la fille d’Arthur Honegger, débutait avec Bach, dans une osmose musicale parfaite…Honegger interprété avec panache et conviction par ce duo, dont on ne peut que louer les qualités techniques et une sensibilité véritablement à l’unisson. Brahms exprimé avec une justesse remarquable par les deux pianistes. Lefébure-Wély , très spectaculaire, achevait avec bonheur ce récital dont il faut souligner la haute tenue d’ensemble et la diversité. » Donatella Micault

 

Festival "Piano à Riom"

"Piano à Riom" proposait un concert avec l'éblouissant Duo Picavet ...
Un concert "éclectique" de prouesses techniques de la part des deux interprètes avec un évident plaisir d'un univers à l'autre et la joie pour le public de découvrir les variations de Lutoslawsky, époustouflantes de virtuosité. Géraldine Messina, Journal la Montagne le 03/06/2007

Le Figaroscope 14/12/2005  « Un doublé qui s’offre un éclatant programme »

Crescendo 03/2004 (cd Poulenc) : « Le jeu des Picavet est piquant, aigu, tout en éclairs de couleurs. Mais il peut aisément se plier à la sévérité harmonique de la belle Elégie dédiée à la mémoire de la comtesse de Polignac. »Bruno Peeters

L’Education Musicale Janv-Fév 2004 (cd Poulenc)

« Toutes pièces humoristiquement et amoureusement interprétées par le remarquable duo Picavet dont nous avons déjà pu dire les qualités de parfaite cohésion et de musicalité. »Francis Gérimont

Le Monde de la Musique 10/2003 (cd Poulenc)

« …on ne peut qu’admirer la clarté du jeu des deux pianistes et leur parfaite maîtrise….la sonate à quatre mains est un des meilleurs moments de ce cd, dont le sommet est la sonate pour deux pianos… »Jean Roy

La Montagne centre-France 22/06/2003 (cd Poulenc)

« Interprétation typée, qui n’hésite pas à caractériser le trait, à se démarquer des conventions, notamment s’agissant de la grande sonate de 1953… »Roland Duclos

Répertoire 01/1997 (cd Gottschalk/Lefébure-Wély)

Geneviève et Bernard Picavet défendent parfaitement ces raretés, en leur donnant le ton et le son adaptés. Chez Gottschalk, le style est plus sec et nerveux. Chez Lefébure-Wély, la couleur est particulièrement soignée et élégante. »Jacques Bonnaure

Les Nouvelles des Yvelines 03/10/1995 (Semaine Musicale de Rambouillet)

Un agréable concert d’une approche immédiate. La maîtrise artistique du couple, la qualité et le raffinement des œuvres proposées ont séduit les amateurs du genre. » G.G.

L’Education Musicale 01/1995 (cd Pianos Romantiques)

« Le duo Picavet possède l’art de « dénicher » des pages parfois majeures qu’il a bien raison de nous révéler. »J.Marie Thil

Le Figaro 05/07/1993 (Festival en Sorbonne)

« De toutes ces œuvres diverses, Geneviève et Bernard Picavet nous ont offert des interprétations solides… » Pierre Petit

Le Courrier du Berry (Festival de Boucard) 13/07/1990

« Geneviève et Bernard Picavet ont tenu leur auditoire sous le charme. Tout simplement,pas de grands effets : un jeu sobre avec plein de musique venant du cœur. La seconde partie a été marquée par la perfection et l’humour de Poulenc, et la gravité méditative de Schumann. » J.M.C.

La Voix du Sancerrois 12/07/1990 (Festival de Boucard)

« Dès la Sonate en ré majeur de Mozart, la complicité du regard et l’harmonie des sons allaient faire merveille et susciter des applaudissements allant « crescendo » ». Y.P.

Le Bonhomme Picard 27/08/1988 (Festival de Saint Germer des Fly)

« Geneviève et Bernard Picavet, doués d’une égale virtuosité dépassant le solo ont présenté des œuvres de toutes les époques et de tous les genres…toute la technique au plus haut niveau s’est trouvée concentrée dans ce jeu de mains infatigable et surprenant d’entente tacite. »C.Forterre
Musique et Concerts Mars 1986 (récital salle Cortot à Paris)

« Le concert, auquel assistait la fille d’Arthur Honegger, débutait avec Bach, dans une osmose musicale parfaite…Honegger interprété avec panache et conviction par ce duo, dont on ne peut que louer les qualités techniques et une sensibilité véritablement à l’unisson. Brahms exprimé avec une justesse remarquable par les deux pianistes. Lefébure-Wély , très spectaculaire, achevait avec bonheur ce récital dont il faut souligner la haute tenue d’ensemble et la diversité. » Donatella Micault